Le manuscrit n’est pas relié à la mort du duc de Berry en 1416, ni en 1485 alors qu’il est la propriété des ducs de Savoie.
Les dernières pages du manuscrit portent cependant des marques à l’emplacement d’anciens fermoirs. Il est probable que Marguerite d’Autriche fit recouvrir de velours les Très Riches Heures. Selon l’historien de l’art britannique Christopher De Hamel, cette reliure avec fermoir d’argent aurait été faite en 1524 par Martin des Ableaux, un orfèvre de la cour de la régente des Pays-Bas à Malines.
Le manuscrit n’est pas relié à la mort du duc de Berry en 1416, ni en 1485 alors qu’il est la propriété des ducs de Savoie.
Les dernières pages du manuscrit portent cependant des marques à l’emplacement d’anciens fermoirs. Il est probable que Marguerite d’Autriche fit recouvrir de velours les Très Riches Heures. Selon l’historien de l’art britannique Christopher De Hamel, cette reliure avec fermoir d’argent aurait été faite en 1524 par Martin des Ableaux, un orfèvre de la cour de la régente des Pays-Bas à Malines.